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Actualités

Journal d'une femme artiste en temps de pandémie (4 de 4)

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Ça fait quelques temps que je n’ai rien dit. Dans les derniers jours, j’ai hurlé à l’émerveillement dans un texte sur la baleine prise au Vieux-Port de Montréal. J’ai terminé le documentaire Netflix sur Jeffrey Epstein. J’ai rêvé souvent à Trump, jusqu’à avoir l’image de son visage imprégnée sur la rétine. Je dis “rêvé”, mais disons qu’il devient en quelque sorte l’illustration d’une certaine anxiété ambiante. J’ai parcouru beaucoup de carrés noirs sur les réseaux sociaux en hommage à George Floyd, mais aussi pour dire <<je suis solidaire>>, contre le racisme qui reste ambiant et l’oppression du pouvoir (policier, gouvernemental et autres). Et il y a des jours où le monde actuel, celui sous le joug du virus, vient teinter le monde d’une légère morosité. Surtout quand tu es enceinte et que ton amoureux habite de l’autre côté des frontières Canada-États-Unis et que tout ton stock tient encore sur le plancher de ta chambre, dans ton appartement d’Hochelaga (parce que tu as quitté Montréal sans l’avoir prévu, sans avoir pu dire bye, sans que rien ne soit prêt !). J’ai dormi presque deux journées complètes, me réveillant aujourd’hui un peu plus légère (enfin) et ayant doucement retrouvé mes forces. 

Poursuivez par ici.

Journal d'une femme artiste en temps de pandémie (3 de 4)

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Mi-mai 

Je me réveille chaque matin, de plus en plus conscience de mon ventre et du fait qu’il contient un humain. J’ai encore besoin de me le répéter plusieurs fois par jour. Je ne veux pas non plus me leurrer d’idées toutes faites. Je veux me faire ma propre observatrice de la chose et m’avouer mes peurs, mes incertitudes, mes incapacités, mes feelings, mes émotions soudaines et inexplicables. Je me réveille de plus en plus tôt, comme si je me préparais déjà à briser le sommeil, à accueillir un visage au petit matin.

Je regarde le tracer sur mon ventre, au-dessus et au-dessous du nombril, une forme d’arbre remplie de branches et de racines. Comme si mon corps, lui, savait exactement où se trouve le lieu de création. Depuis 6 mois de ma vie, déjà, je crée quelque chose avec tout ce que je suis et en même temps, je ne sais pas toujours comment m’impliquer dans le processus.

Je tente de rattraper le temps que je n’aurais plus, une fois l’enfant née. En même temps, je me retrouve fatiguée de la création physique et psychologique en cours.

Continuez la lecture juste ici.

Journal d'une femme artiste en temps de pandémie (2 de 4)

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Une chambre en soi – sur l’écriture 

Aujourd’hui, je vais mieux. Dans le sens où ça n’hurle pas trop fort dans ma tête. Le corps lui, s’endort. Souffle un peu. Devant le soleil, me demande pause, repos. Je me réveille de plus en plus tôt. Je perçois les étapes d’une restructuration du ciel chaque matin.

Aujourd’hui, je vais mieux. Mais j’ai encore besoin de dire que je m’absente. Que j’ai besoin d’espace pour me reprendre, non pas où je me suis laissé, mais à l’endroit où je vais me retrouver.

Ce matin, j’écoutais, en audio, sur France Culture, une émission consacrée à Virginia Woolf et à son essai féministe Une chambre (ou un lieu) à soi. Depuis hier, depuis avant-hier, j’ai repris la route vers l’écriture de mon roman (comme s’il n’y avait qu’une seule histoire pour me suivre toute ma vie). Et je me questionne, au fil des journées, des périodes d’écriture et celles de latence, sur ce qui est nécessaire pour rendre possible l’écriture. Ce qui est ultime et primordial pour moi, ce qui me fait écrire, ce qui me rend possible dans l’écriture. Et ces réponses, elles me sont apparues au long fil des années, de ces années où j’ai osé faire place à ma langue intime, à cette curiosité née du désir d’écrire et de partager par les mots et les images.

Pour la suite c’est par ici.

Journal d'une femme artiste en temps de pandémie (1 de 4)

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Allô, je prends une pause.

Je tente de.

De prendre une pause.

Mon corps me dit de plusieurs manières, allô, peux-tu t’arrêter un peu ? Peux-tu relaxer ? Repose-toi donc s’il te plaît. Aurais-tu oublié que tu es activement en création d’un autre être humain ? Que tu partages ton corps et toute ton énergie à cette création, à l’élaboration vivante de cette œuvre d’art ?

Allô, allô, je te demanderai de t’arrêter un peu. Juste le temps de souffler, juste le temps de prendre le temps. De vivre les coups de pieds, les caresses du dedans, les retournements de tous les côtés de l’être qui glisse contre les parois de ton corps. Tu sais, oui, le temps coule. Mais le printemps n’est qu’en préparation. Tu as encore le temps. Et puis le Québec, l’Amérique, le monde terrestre se repose encore. Prends le temps. Laisse-toi bercer par la mer. Laisse-toi endormir par le vent. Écoutes encore ton chat ronronner. Ta fatigue, accueilles la. Prends ton temps. Prends tout ton temps. Tu vis ce qui ne se répète pas. Ce qui n’a lieu qu’une seule fois. Un levé de soleil. Une pleine lune. Un coup de pied. Un chat qui miaule. Une vie aux allures incertaines, violentes, fleurissantes. Une vie de questionnements, d’amour à distance, de forte portée poétique. Une vie entre mer et sous-bois. Aucune des heures, des journées, des semaines écoulées ne reviendront. Prends donc ton temps, tout ton temps, pour goûter chaque pas, vivre chaque respiration, veiller chaque larme. Prends le temps de reprendre tes forces, de refaire ton plein d’énergie, de contempler tes courbes, de déguster des fruits. Prends le temps. De vivre tes parents, de perdre ton temps, d’avoir mal à certains endroits. Prends le temps d’avoir le droit. Les idées ça va, ça vient, ça vol. Si quelques-unes se perdent, d’autres se pointent. Il y a toujours ce va et vient.

Les idées c’est vivant. Ça ne se perd pas. Ça se remplace ou ça se transforme.

Pour poursuivre la lecture, c’est ici

Le mouvement de l'immobile

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Le mouvement de l’immobile 

 

d’une voix tendre 

 

épuisée 

 

j’appelle le poète 

 

mes secousses restent provisoires 

 

 

j’ai la haine des manèges 

 

je cherche le sens 

 

aux arbres nus 

 

 

les règles dans la tête 

 

un flux inconstant 

 

de rivières matérielles 

 

 

l’atmosphère te rend impudique 

 

dans tes allures de feu 

 

pourtant toutes les feuilles 

 

tombées par-terre 

 

forment un nouveau lit d’ecchymoses …

Le voyage complet à suivre, ici

L'écriture en mouvement, chaque humain est un poème

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(…) Je souhaite donc, te partager régulièrement, ici même sur le blog, des poèmes écrits dans le mouvement où tu pourras en reconnaître certains lieux, mais surtout, je veux que tu te les appropries. Je te les offres, comme on offre des petits fruits récoltés dans le champ ou encore comme on offre un grand bouquet de feuilles tombés des arbres à cause des grands vents de l’automne. Ne cherche pas à me lire en me lisant, mais part plutôt à ta rencontre.

Pour la rencontre, c’est par ici.

L'écriture en mouvement, l'ouverture

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Mon souhaite, avec la poésie, c’est permettre au regard de s’aiguiser, de s’habituer à voir le beau et au cœur à ressentir fort cette beauté. 

  

2015-2016 Premier hiver à Percé

Je suis en plein processus d’écriture de mon projet de roman débuté à la fin de l’été 2014 (et toujours en cours d’ailleurs). 

Je vis pour la première fois, en égale avec la nature. Je me retrouve tranquillement à ma place. Femme – Territoire – Rocher -Île – Pierres -Sable – Vent – Mer – Oiseaux – Champ -Humains – Poissons – Champignons -Baleines – Homard -Coquillages – Algues …

Pour s’y plonger, c’est juste ici

Fear and Greed : Gravel is my man (bis)

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And again

L’expérience, la découverte, l’enthousiasme, le faberglaste et la quote emballée… tout y était jeudi soir à l’Usine C. Avec Fear and Greed, la nouvelle création de Frédérique Gravel (toujours accompagné des musiciens de feu que sont Philippe Brault, José Major, Jean-Luc Huet), Gravel reprend la conversation entamée avec Some hope for the Bastard et le sentiment que rien n’a changé et pourtant… tout depuis notre dernière rencontre, et cela fait le plus grand bien.

Pour la suite, c’est par ici !

Jeff Koons, un regard efficace sur une société superficielle

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Quand nous sommes témoins d’une œuvre telle que la pièce de théâtre Jeff Koons, mise en scène par Dillion Orr, c’est sans équivoque, elle touche une sensibilité profonde en nous ; jamais plus notre regard ne sera le même. Cette pièce évoque le mal du siècle, une déshumanité certaine, imposée, sans crier gare, par les technologies qui nous entourent et où l’empressement et l’éphémère sont irréfutables. Comme nous avons grandi dans ce contexte technologique sans précédent, nous n’avons pas d’autres repères, pas de mots pour décrire le vide intérieur qui nous habite. Le message est limpide, même l’art ne parvient plus à nous rallier à notre humanité profonde et c’est un désastre. Retour sur une pièce qui incarne le mal-être d’une société étouffée par sa propre création.

L’article complet est juste ici.

Eva et Franco Mattes; l'avant - après internet qui façonne

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Le personnel est politique. Nous le savons. Nous avons besoin de se le rappeler… souvent. Eva et Franco Mattes ont choisi, depuis le milieux des années 90, d’en faire le sujet central de leurs propositions artistiques. « Comment les sociétés contemporaines ont façonné Internet et inversement celle dont Internet nous façonne. »

Détachés et déconnectés ?

Au tout début de ce parcours-introspection, 2 installations vidéo (My generation et Emily’s video) placent le spectateur dans la position de recevoir les émotions transmises et vécues puissamment par les observateurs filmés.

Détachés ? Nullement.

*Lire l’article complet juste ici.

Errances.... le coeur de Mélanie Binette

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Le 12 décembre 2002, un homme succombe à une crise cardiaque devant le parvis intérieur du Théâtre Maisonneuve. 17 ans plus tard sa fille, l’artiste Mélanie Binette, décide de revisiter le deuil de son père en créant une performance in situ pour un.e spectateur-trice à la fois. Errances interroge la façon dont le deuil s’inscrit dans la ville, la mémoire de l’intime se fondant dans l’espace public. Un parc, un édifice, une envolée de marches peuvent nous rappeler un défunt. Quel intérêt avons-nous à y retourner par la suite, comme sous la forme d’un rituel païen? L’artiste guide chaque spectateur-trice main dans la main à travers un parcours audio, un dispositif immersif mixant l’environnement sonore en direct avec le texte de la performance. Les spectateurs-trices redécouvrent ce lieu fondateur de la vie montréalaise en y épluchant les différentes couches d’histoires enfouies sous le parquet du complexe culturel. Le souvenir de la dernière marche d’un homme pourra-t-il éclairer le passage du temps, rappeler ce qui a disparu de ce site?

L’article complet est ici.

Journaux de création; Louba-Christina Michel

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Mon endroit préféré 

Il existe dans le monde, mon endroit préféré. Un espace immense, presque infini si on le fait à pieds – c’est cette descente sur la 132 à Cap d’espoir – juste après être passé devant le Marché Nicolas. 

Sur le bord de la route, côté mer, on retrouve quelques maisons colorées et derrière ces maisons, se tient l’Île Bonaventure, étendue là et devant nous, les montagnes de Percé présentées comme d’immenses femmes aux bras ouverts. 

Il y a aussi la mer, son horizon et le ciel – surtout le ciel lilas de certaines soirées estivales. 

Chaque fois que je passe par là, mon cœur s’excite, mon sang coure dans mon corps et je ne peux plus taire mes <<c’est beau, c’est tellement beau, c’est fou>>. Imaginez quand se déploie un grand ballet de fous de bassans près de la grève. 

Pour découvrir son univers…c’est ici.

Numain, l'exploration Crête

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Solo pour humain et poupée de silicone, Stéphane Crête poursuit ses explorations sur l’impudeur et les limites de la représentation avec une proposition dans laquelle il s’offre à nous vulnérable, se buttant à ses propres limites d’homme et où le spectateur est confronté aux parts du vide que nous portons tous. La solitude en tentative de partage… si elle est offerte à un être qui ne saurait nous décevoir, peut-être est-ce enfin LA solution pour s’en extirper. Ou pas.

Les premières manipulations donnent le ton. Ritualiste, avec grand respect… il pose d’abord la main sur son ventre. L’enfonce. Puis les seins. Puis la peau.

Évident de concevoir l’absence d’humanité émanant de cette poupée, on se surprend à alterner notre attention entre Stéphane et elle. Les marques d’humanitude, ces tentatives touchantes ici et là dans la performance rendent réellement attachante cette démarche-tentative-besoin de connexion. Comme de petits gestes non contrôlés, par erreur… connaissant le processus créatif exploratoire-filmé lors de la création, il aurait été, je crois, fort intéressant d’avoir accès à ces séquences.

La suite est juste ici

Un Jelly Bean Francoeur ?

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Peut-être parce que ça m’a parlé de trop proche… t’sais, le mauvais feeling que t’as un lendemain de veille où on dirait que t’as vomi ton âme dans l’dernier voyage… j’ai surtout eu ce feeling là en lisant Jelly Bean. Juste l’impression que ma meilleure amie racontait une période de ma vie un peu floue (dont je devrais me rappeler en constatant autant de péripéties) mais je n’en ai qu’un ben vague souvenir.

Parce que ça se peut tellement.

Pu là. Pus aujourd’hui.

Mais ça s’est pu.

‘Tit clin qui voulait jouer dans la cour des grands, dans l’fond de St-Yaya, à couper la coke (qu’il était chargé de revendre) avec d’la p’tite vache, pour s’la jouer rough faisait semblant de boiter comme Tupac…

Ouin, comme j’disais, ça s’est pu.

Virgine Francoeur a lancé Jelly Bean ce soir. J’ai eu la chance de recevoir son roman ce midi. Y’était déjà fini au moment où elle m’écrivait sa dédicace.

L’article complet est juste ici !

Retour sur mon été...déconnecté et littéraire

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Après une année bien remplie d'événements, de spectacles et de rencontres d'artistes incroyables et généreux... j'ai ressenti le besoin de faire le vide... en fait... de faire le plein.

Le plein de m'entendre penser et de m'immerger dans d'autres. C'est donc au fond des bois, à plus de deux heures de Montréal, dans une cabane de bois, sans eau courante, sans électricité et bien entendu sans wifi, que j'ai passé l'été. J'y ai bien travaillé un brin, mais bon nombre d'heures chaque jour furent consacrées à dévorer ces quelques bouquins.

Je m'étais fait (comme l'excessive que je suisune liste de livres à lire... et j'ai dû me recadrer un peu. La performance ne devait pas venir s'immiscer dans cette quiétude nécessaire et mon besoin de faire le plein calmement, de laisser raisonner... mais somme toute, je suis très fière de mes lectures.

pour consulter mes lectures, c'est juste ici. 

 

L'hiver en poésie ou l'éloge du silence

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Cette période de ma vie, dans la petite maison sur la montagne, tire à sa fin. Je tente le plus possible d’habiter et de goûter chaque instant qu’il me reste, tout en me préparant à l’ailleurs et à l’inévitable deuil que je devrai faire en quittant les lieux. Ici, je suis chez moi. La maison est devenue, au fil des mois, la suite naturelle de mon corps, l’extension de mes membres, de ma pensée. Les arbres, mes amis, et le vent sur les murs de la maison, des bras venus me serrer très fort.

J’ai eu l’intuition que je devais m’installer ici pour la saison hivernale (automne, hiver, printemps) pour venir me rencontrer. Et c’est ce que j’ai fait. Je me suis rencontrée. Et pour préparer cette rencontre, il m’a fallu beaucoup de silence, de solitude, d’écoute, mais aussi de partage (lectures, correspondances, rencontres).

Pour lire la suite, c'est ici. 

Le mouvement humain

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Espace laboratoire

 

L’espace dialogue (espace laboratoire) me permet de lancer des pistes de réflexion sans nécessairement prendre complètement part à une idée comme à une autre. Le mouvement est perpétuel, la curiosité cherche quotidiennement à se nourrir, les idées muent et elles se transforment. Alors, je m’offre la possibilité de créer des textes faits de chaos et de lancer des questions sans réponses ou des réponses qui amènent de nouvelles questions, histoire de propulser le jeu jusqu’à toi, jusqu’à vous.

*Je ferai, bien sûr, des aller-retour sur les mêmes sujets à travers les différents articles.

Pour l'article complet, c'est juste ici. 

 

 

L'hôpital des poupées

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Je suis à la Maison Théâtre pour voir la nouvelle production des Nuages en pantalon, ‘’L’Hôpital des poupées’’, texte d’Isabelle Hubert, mis en scène par Jean-Philippe Joubert.

Les petites voix qui bourdonnent, une ruche de 4 à 8 ans et moi, j’attends. J’ai vu des photos, ça a l’air beau. Le noir tombe et ça crie. La salle se rallume, la ruche aussi.

Pour lire l'article complet c'est ici. 

 

La maison-atelier unique à Paris...Le Musée Gustave Moreau

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Après le Musée Bourdelle et son atelier, qui reste mon ultime préférence, je souhaitais absolument visiter… et cela depuis très longtemps, le musée Gustave Moreau dont je connaissais l’emblématique escalier en colimaçon qui permet d’accéder au dernier étage de la maison.

Le musée fut entièrement aménagé par Gustave Moreau (1826-1898). Au premier étage, les appartements du peintre où sont accrochés portraits de famille et oeuvres offertes par ses amis Chassériau, Fromentin et Degas. Le rez-de-chaussée, ainsi que les deuxième et troisième étages occupés par d’immenses ateliers, présentent des centaines de peintures, d’aquarelles, et des milliers  de dessins. Il fut un maître incontesté du Symbolisme français.

Pour une visite comme si vous y étiez, c'est par ici ! 

La nouvelle proposition de Mélanie Zee

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La rencontre

J'ai découvert Mélanie Zee par grand hasard, ce genre d'heureux hasard de journée froide cet automne. Elle tenait office dans une ravissante librairie de livre usagés. Déjà poétique ! Je la découvre timide en discussion très étonnante de ressources. elle est musicienne, compositrice et productrice. Je me devais de la découvrir. 

Avec les yeux entre-ouverts, ayant crainte de ne pas apprécier ses créations autant que la fantastique personne que je venais de découvrir (ca arrive pis ca aurait été bien correcte, on ne peut pas avoir affinité créatives avec tout l'monde !) et quelle ne fut pas ma surprise de plonger dans son univers. Je l'ai fais plusieurs fois depuis, je me suis surprise à écouter encore et encore son plus récent album...je suis conquise ! Pr l'humain et par la créatrice ! 

Pour lire le dossier de l'artiste c'est par ici !